gauguin paul photo
Gauguin Paul
Le Pérou
Eugène Henri Paul Gauguin naît le 7 juin 1848 à Paris, son père Pierre Guillaume Clovis Gauguin est journaliste politique et est originaire d'Orléans, sa mère Aline Marie Chazal est la fille de l'écrivain Flora Tristan et est d'origine péruvienne, il a une soeur marie née en 1847. En 1849, la famille part pour le Pérou, destination Lima ou le père de Gauguin souhaite créer un journal. Il décède pendant la traversée d'une rupture d'anévrisme. Gauguin loge avec sa mère et sa soeur à Lima chez un oncle.
Orléans et Paris
Au début de l'année 1855 suite au décès du grand-père paternel de Gauguin, la famille doit rentrer en France, à Orléans, pour régler la succession, ils logent alors chez l'oncle paternel à Orléans et Paul est inscrit dans un pensionnat orléanais, puis au petit pensionnaire de la Chapelle Saint-Mesmin d'Orléans où il fait de solides études classique. Paul Gauguin souhaite devenir marin, en 1862, il rejoint sa mère qui travaille comme couturière à Paris. Sa mère avant de quitter Paris désigne le banquier et collectionneur d'art, Gustave Arosa, comme tuteur de ses enfants. Il s'inscrit à l'Institut Loriol et commence à préparer le concours d'entrée à l'École navale, il a dépassé l'âge limite pour le concours et opte pour la marine marchande.
Gauguin marin
Dès l'âge de 16 ans, le jeune homme s'embarque en tant qu'élève officier pour Rio de Janeiro. En 1866, promu second lieutenant Gauguin part pour une année et navigue dans le monde entier. En juillet 1867, il apprend la mort de sa mère lors d'une escale en Inde, Gauguin ne peut rentrer en France que cinq mois plus tard. En 1868, Gauguin a 20 ans et s'engage dans la marine nationale comme matelot de 3 ème classe, il est incorporé à la division de Cherbourg. Devenu matelot de 1 ère classe il est libéré de ses obligations militaires par un congé de six mois renouvelable. Grâce à son tuteur Arosa Gauguin trouve un emploi chez un Paul Bertin, agent de change, rue Lafitte. Pendant cette période il débute la peinture sur les conseils de la fille d'Arosa. Gauguin rencontre Émile Schuffenecker chez Bertin, qui est aussi peintre amateur, avec lui l'artiste étudie le dessin d'après modèle à l'académie Colarossi, Émile devient un ami et un fidèle soutien pour l'artiste.
Pissarro et les impressionnistes
Gauguin rencontre une jeune institutrice danoise, Mette Sophie Gad, alors âgée de 22 ans et l'épouse en 1873, elle lui donne cinq enfants. Gauguin commence à produire des toiles de style plutôt impressionniste. En 1874, naît son premier fils, Emil, il rencontre Camille Pissarro et attiré par les oeuvres qu'il voit aux expositions impressionniste consacre la plus grande partie de son argent à l'achat de toiles de Manet, Renoir, Monet, Sisley, Guillaumin, Cézanne, Jongkind, Daumier et Pissarro. En 1876, sa toile Sous-Bois à Viroflay est acceptée au Salon. Pissarro avec lequel il peint l'introduit auprès du groupe impressionniste, Gauguin adopte la technique et les thèmes de son mentor, Les Pommiers à l'Hermitage, près de Pontoise.
En 1877, il quitte son emploi chez Bertin et débute dans le modelage et la sculpture, sa femme accouche de leur deuxième enfant, Aline. En 1879, Gauguin travaille chez le banquier André Bourdon et présente une sculpture, un buste de son fils Emil, à la 4 ème exposition impressionniste, il fréquente assidûment le café de la nouvelle Athènes ou se retrouvent Manet, Degas, Pissarro et Renoir. Son second fils, prénommé Clovis naît. Il peint avec Pissarro à Pontoise. Lors de la 5 ème exposition impressionniste, Gauguin présente huit oeuvres et 8 également à celle de 1881. Naissance de son troisième fils, Jean-René. Lors de la 7 ème exposition, le peintre présente 13 oeuvres, il continue à peindre en compagnie de Pissarro, à Pontoise et Osny. Gauguin habite rue Carcel à côté d'une fabrique de faïence où il apprend la céramique avec son directeur nommé Chaplet.
La peinture
En 1883, Gauguin quitte son emploi d'agent de change pour se consacrer à la peinture, l'effondrement de la bourse lui fait perdre beaucoup d'argent, il déménage alors à Rouen sur les conseils de Pissarro dans un modeste appartement avec sa nombreuse famille, là-bas l'artiste essaie en vain de vendre ses toiles au Rouennais sans succès, sa relation de couple de dégrade rapidement et sa femme part avec les enfants à Copenhague pour deux mois. Pour vivre Gauguin cherche du travail et en octobre 1884 obtient un emploi en tant que représentant pour le Danemark de la manufacture de toiles et bâches chez Dillies & Cie. Gauguin rejoint sa famille à Copenhague et continue à dessiner, il expose son travail à la Société des Amis de l'art de Copenhague. Finalement il se sépare de sa femme en juin 1885 et regagne Paris en compagnie de son fils cadet Clovis. Le peintre est complètement ruiné, il s'installe quelques temps chez son ami Émile Schuffenecker, rédige les Notes synthétiques, plaidoyer anti académique, puis se rend à Dieppe et Londres.
La Bretagne
Pour gagner sa vie Paul Gauguin colle des affiches dans les gares, il emprunte de l'argent à un de ses parents et part pour la Bretagne, il loge à la pension Gloanec à Pont-Aven, où il rencontre le peintre Charles Laval, Gauguin y séjourne trois mois de juillet à septembre 1886, il peint également au Pouldu et réalise de nombreux croquis qui lui servent pour ses futures toiles (Les Quatre Bretonnes), Gauguin fait de nombreux séjours par la suite en Bretagne.
De retour à Paris, Gauguin se détourne du groupe néo-impressionniste et se consacre à la réalisation de céramique pour Chaplet. En novembre 1886, l'artiste rencontre pour la première fois Vincent Van Gogh grâce à son frère Théo qui a déjà travaillé pour lui. Puis Gauguin décide de partir au Panama en compagnie de Charles Laval qui pour vivre peint des portraits, Gauguin lui est obligé de travailler et se fait engager sur le chantier du canal du Panama à la Société des travaux publics ou l'artiste travaille 12 heures par jour, il est licencié au bout de 15 jours et part immédiatement pour la Martinique pour trouver la belle vie.
Les deux artistes arrivent à Saint-Pierre en juin 1887 et tout de suite Gauguin se met à peindre des paysages, il y exécute une dizaine de toiles, mais est atteint de paludisme et de dysenterie contractées au Panama, il doit rentrer à Paris en octobre 1887. Toujours aussi pauvre, l'artiste loge chez Émile Schuffenecker pour deux mois, il montre les toiles exécutées là-bas à Van Gogh qui lui fait des éloges sur la toile, "Aux Mangos", celle-ci est achetée avec d'autres par Théo qui dirige la galerie Boussod, Valadon et Cie (ancienne galerie Goupil). Gauguin trouve un bref emploi d'enseignant grâce à Schuffenecker, à l'atelier libre de Rawlins, un homme d'affaire anglais.
L'école de Pont-Aven
Au début de l'année 1888, Paul Gauguin retourne à Pont-Aven, il est entouré d'un groupe de jeune artistes, notamment, Paul Sérusier, Émile Bernard et son ami Charles Laval qui constituent avec lui L'école de Pont-Aven, Gauguin commence ses recherches sur une nouvelle esthétique, le synthétisme, simplification de la forme et de la couleur et une nouvelle technique inventée par Émile Bernard le cloisonnisme, aplats de couleurs cernés d'un trait sombre (comparable à l'effet graphique des émaux cloisonnés), le procédé est emprunté aux estampes japonaises, au vitrail, à la xylographie médiévale.
Lors d'une leçon de peinture que Gauguin donne à Sérusier qui peint alors "Le Talisman", il expose ses nouvelles conceptions plastiques, Comment voyez-vous ces arbres? (...)Ils sont jaunes ; eh bien, mettez du jaune, cette ombre plutôt bleue, peignez-la avec de l'outremer pur, ces feuilles rouges? Mettez du vermillon. Sa toile La Vision du Sermon deviendra le manifeste de cette nouvelle esthétique.
Arles et Van Gogh
Au mois d'octobre Gauguin part rejoindre Vincent Van Gogh à Arles pour fonder sur une idée de Vincent l'Atelier du Midi, Théo lui prête l'argent du voyage et promet une pension en échange de tableaux. Le peintre arrive le 23 octobre 1888 et trouve Vincent très agité, les deux hommes restent souvent enfermés à cause de la météo, leur cohabitation est difficile, ils s'affrontent souvent à cause de leurs convictions artistiques divergentes. Gauguin peint un portrait peu flatteur de Van Gogh, la toile déplait fortement à Vincent qui se sent humilié par ce tableau, qui le montre en dément. Les deux artistes ont une querelle très violente le 23 décembre, il part dormir à l'hôtel et le lendemain matin, trouve la police chez Vincent, dans une crise de folie le peintre s'est coupé un morceau d'oreille et l'offre à une prostituée d'un bordel local, puis rentre chez lui. Gauguin rentre alors précipitamment à Paris.
L'exposition Volponi
Début 1889, Gauguin expose 12 oeuvres au XX de Bruxelles et retourne à Pont-Aven avec Paul Sérusier, il y exécute la toile "Belle Angèle" qui est très critiquée. Gauguin organise avec ses amis, l'exposition du groupe impressionniste et synthétiste consacrée aux oeuvres de la nouvelle esthétique, elle a lieu à Paris, pendant l'exposition Universelle de 1889 au Café Volponi qui se situe alors dans l'enceinte de l'Exposition, connue sous le nom d'Exposition Volponi, il y présente 17 oeuvres. La critique n'est pas favorable à l'exposition et les neuf artistes indépendants (Gauguin, Bernard, Anquetin, Laval, Schuffenecker, etc) vendent peu. L'exposition a tout de même le mérite de propulser Gauguin sur la scène parisienne. Certaines oeuvres sont reproduites dans Le Moderniste illustré, revue symboliste, le rédacteur en chef Albert Aurier, demande à Gauguin et Bernard la rédaction du compte rendu de l'exposition pour les lecteurs, ils trouvent en Aurier un nouveau sympathisant de leur cause et un ami fidèle.
Gauguin continue ses séjours à Pont-Aven accompagné de Sérusier, il trouve le lieu envahi de touristes et d'artistes et se rend alors au Pouldu de juin à novembre, à l'auberge de Marie Henry en compagnie du peintre hollandais Meyer de Haan. L'auberge est devenue célèbre grâce à la décoration de la salle à manger aujourd'hui dispersée, entreprise par les deux artistes en 1889 auxquels se joindront en 1890 Sérusier et Filiger. Le séjour au Pouldu est moralement très difficile, il ne vend rien et est très endetté.
Tahiti
Gauguin expose une sculpture et des céramiques à la galerie Boussod, Valadon et Cie, il séjourne à Pont-Aven et au Pouldu et rencontre le poète Charles Morice. Juliette Huet devient son modèle et sa nouvelle maîtresse, elle lui donne une fille Germaine. Le peintre se lie avec les peintre de l'avant-garde, Bonnard, Maurice Denis et Vuillard et visite leur atelier commun. Il expose des bas-relief en bois à l'exposition des XX à Bruxelles. Ayant un peu d'argent Gauguin rend visite à sa famille à Copenhague, ce sera la dernière fois qu'il voit sa famille. Rêvant de retourner à Tahiti, il demande au ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts une mission gratuite pour Tahiti qui est acceptée, Gauguin s'embarque pour Papeete en avril 1891 et arrive en juin, il s'installe au sud de l'île à Mataiea et y peint de nombreuses toiles de conception nouvelle et audacieuse, formes dépouillées, dessin simplifié, absence délibérée de relief et couleurs éclatantes qui préfigure la peinture moderne dont, La Orane Maria, Le repas ; etc. L'artiste illustre avec des gouaches ou des épreuves en noir d'après les bois qu'il grave lui-même, un manuscrit sur sa vie tahitienne qu'il nomme Noa-Noa et débute la rédaction du Cahier pour Aline, il a pour modèle et vahiné Teha'Amana âgée de 13 ans.
La maladie
Malade, vomissant du sang, Paul Gauguin est admis à l'hôpital qu'il quitte en signant une décharge, n'ayant pas d'argent pour les soins. Une rétrospective est organisée dans la galerie du Barc de Bouteville à Paris. Sans argent et malade l'artiste demande son rapatriement qui est accepté et regagne la France, il ramène 66 tableaux et expose à la galerie Boussod son 1er tableau tahitien : Vahiné no te tiare, Gauguin séjourne à Paris et en Bretagne. Pendant cette année il acheva au moins une trentaine de toiles, des paysages, des portraits et des études de figures ainsi que des compositions mystiques et symbolique dont, La Orana Maria. En 1893, Gauguin présente 50 oeuvres à l'exposition libre d'Art Moderne à Copenhague.
Durand-Ruel organise une exposition de ses oeuvres exécutées en Océanie, il y présente 46 toiles et des sculptures, l'exposition n'eut pas le succès escompté. Parmi ses anciens confrères seul Edgar Degas aime les oeuvres de Gauguin, Monet et Renoir trouvent sa peinture très mauvaise. En 1894 il vit avec Annah la javanaise, un modèle âgé de 13 ans. Gauguin participe avec cinq toiles à l'exposition de La Libre Esthétique à Bruxelles. Avec Annah il se rend à Pont-Aven, au Pouldu, puis la jeune fille le quitte et fait main basse sur ses biens. Il décide de repartir pour Tahiti.
Retour à Tahiti
En 1895, une vente publique est organisée, elle comprend 49 oeuvres et se déroule à l'hôtel Drouot, la vente est un échec. Gauguin retourne à Tahiti où il arrive début septembre, toujours aussi démuni et très déprimé, le peintre s'installe sur la côte ouest à Panaauia avec une nouvelle vahiné, Pahura âgée de 14 ans. En 1896, il fait un long séjour à l'hôpital. Malgré tout le peintre travaille beaucoup réalise des dessins, sculptures, céramiques et peint des toiles devenues célèbres : Nave, Nave, Mahama ; Nevermore ; Te Rerioa (Le Rêve) ; D'où sommes-nous ? Que sommes-nous ? Ou allons-nous?.
En 1897, Paul Gauguin perd son unique fille, Aline et fait une tentative de suicide à l'arsenic, son état de santé est préoccupant et nécessite des soins médicaux, son coeur est malade, mais faute d'argent, il refuse de se faire soigner. En 1898, il est employé à des travaux d'écriture et de dessin au Bureau des travaux publics pour six francs par jour, il peint le Cheval Blanc. Pahura le quitte et lui vole quelques-uns de ses biens, il commence à avoir des difficultés à marcher et fait un court séjour à l'hôpital. En 1899, il quitte son emploi au bureau des Travaux publics et retourne à Panaauia, Pahura accouche d'un garçon prénommé Émile. L'artiste envoie ses premiers articles à un journal satirique, publié à Papeete, Les Guêpes, puis crée sa propre feuille nommée "Le Sourire". En 1900, Gauguin est rédacteur en chef du journal Les Guêpes.
Les Iles Marquises
En 1901, Gauguin quitte Tahiti pour les Iles Marquises à Hiva Hoa (La Dominique) et s'installe avec une très jeune vahiné, Vaeoho dans une maison atelier sur pilotis qu'il fait construire et nomme La Maison du jouir entièrement décoré de ses oeuvres, peintures, sculptures, gravures et ornés de panneaux de bois sculptés et coloriés. En 1902, il irrite les autorités coloniales en refusant de payer ses impôts et en encourageant les indigènes à la rébellion. Gauguin est gravement malade et ne peut presque plus peindre. Il est accusé de diffamation à l'encontre du gouvernement tahitien et condamné à trois mois de prison, il fait appel et sa peine est réduite à un mois. Paul Gauguin décède le 8 mai 1903 d'une crise cardiaque à Atuona où il est inhumé à l'âge de 55 ans.
Principales œuvres
La seine au pont d'Iéna 1875; La petite rêve, 1881; Intérieur chez le peintre, 1881 ; Pommiers de l'Hermitage aux environs de Pontoise, 1879; Étude de nu (Suzanne cousant), 1880; effet de neige 1883; Autoportrait, 1885; Nature morte à la mandoline, 1885; Autoportrait à l'ami Carrière vers 1886 ; Nature morte au profil de Laval 1886; La Baignade, 1887; Les quatre bretonnes, 1886; Aux Mangos ,1887; Premières fleurs Bretagne, 1888; Vision du sermon (La lutte de Jacob avec l'ange), 1888; Les arbres bleus, 1888; Les Alyscamps, 1888; Vincent Van Gogh peignant des tournesols, 1888; Vieilles femmes à Arles, 1888; Madeleine Bernard, 1888; Ferme à Arles 1888; La ronde des petites bretonnes, 1888; Les misérables 1888; Portrait de Gauguin par lui-même, 1889; Dans les vagues, Ondine 1889; Le jambon, 1889; Le Christ au jardin des oliviers, 1889 ; Les ramasseuses de varech, 1889 ; Petites bretonnes devant la mer, 1889; Soyez amoureuses et vous serez heureuses, sculpture, 1889; Nirvana portrait de Meyer de Haan, 1889-1890; Nature morte à l'éventail, vers 1889; Bonjour monsieur Gauguin 1889 ; Autoportrait au Christ jaune, 1889-1890; Paysage aux deux bretonnes, 1889; Les meules (Le champ de pommes de terre), 1890; La famille Schuffenecker, 1889; Le Christ jaune, 1889; La perte du pucelage (L’Éveil du printemps), 1890-1891; Femmes de Tahiti (Sur la plage), 1891; Te faaturula (La boudeuse), 1891; Vahiné no te tiare( Femme à la fleur), 1891; Femmes de Tahiti sur la plage, 1891; L'Homme à la hache, 1891; Le repas (Les bananes), 1891; Ia orana Maria (Je vous salue Marie), vers 1891-1892; Manao Tupapau (L'esprit des morts veille), 1892; Deux Tahitiennes sur la plage, 1892; Fatata te miti (Près de la mer),1892 ; Fatata te moua (Au pied de la montagne), 1892; Pastorales tahitiennes, 1892; Vahine no te vi (Femme à la mangue), 1892; Mata Mua (Jadis),1892 ; Pahari te marae (Là est le temple), 1892; Nafea Faaipoipo (Quand tu maries-tu ?), 1892; Otahi (Seule), 1893; Merahi metua no Tehamana (Tehamana a de nombreux parents), 1893; Autoportrait à la palette, vers 1894; Upaupa Schneklud, 1894; Paris sous la neige, 1894; Jeune chrétienne, 1894;Te tamari no atua (La naissance du Christ), 1895-1896; Autoportrait près du Golgotha, 1896; Te rerioa (Le rêve), 1897; Baigneuses, 1897; Nevermore, 1897; D'où venons-nous? Que sommes-nous? Ou allons-nous?, 1897; Te pape nave nave (L'eau délicieuse), 1898; Faa Iheihe (Pastorale tahitienne), 1898; Deux tahitiennes, 1899; Trois tahitiens (Conversation), 1899; Femmes au bord de la mer, 1899; Tournesols sur un fauteuil ,1901; L'appel, 1902; Contes barbares, 1902; Autoportrait, vers 1903.
Première édition le: 07 mars 2010 Par : Sarah
Mise à jour le: 29 janvier 2012 Par : Sarah
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Manao Tupapau
Gauguin Paul Signature
Portrait de Gauguin par lui-même
La Seine au Pont d'Iéna
Étude de nu ou Suzanne Cousant
Effet de neige
Nature morte au profil de Laval
Autoportrait
Nature morte à la mandoline
LaVision du sermon ou la lutte de Jacob avec l'ange
Madeleine Bernard 1888